De 1953 à 1954, Gilbert Trolliet n'est pas à la tête d'une revue. Ce laps de temps marque pour lui la transition entre la Revue de Suisse qui prend fin en 1952 et Présence et Revue de Suisse qui débute en 1955. Plusieurs journaux débattent alors de la question de la nécessité de revues en Suisse romande.
En 1953, Gilbert Trolliet aura néanmoins tenté de lancer La Nouvelle Revue de Suisse et projette également de créer des Éditions générales, une revue Suisse-Europe, et diverses collections comme les Cahiers de Présence et Poesis. Ces divers projets ne verront pas le jour.